De nombreux prêtres sont issus de la famille PERGOD, et chaque famille apportait des hommes au clergé, souvent les cadets :
– Amed Pergod, supposé cousin germain de Noël Hugon Pergod, cité prêtre en 1635 sur un cottet de taille de Saint Jean de Sixt
– l’un (ou deux) des fils du sénateur Noël HUGON PERGOD furent prêtre, mais aussi l’une des filles du Sénateur est entrée religieuse à la Visitation après son décès.
– Plus tard deux PERGOD cousins de St Jean de Sixt, l’un sera Curé à Menthonex en Bornes, l’autre à Cons Ste Colombes.
Au début du 18ème on retrouve un prêtre issu de la famille PERGOD de La Clusaz, puis dans la seconde partie du XVIII ème Jean François PERGOD, Curé à Samoëns, qui a laissé des Mémoires sur sa paroisse natale.
On peut également citer la fondation de la Chapelle du Pas par Noël HUGON PERGOD, et la participation de Dominique PERGOD de la Clusaz pour la fondation de la Chapelle du Fernuy au XVI et XVIII° siècle.
Verifier l’orthographe de Cons Ste Colombe.
Jean Pergaud avant 1600 admodie la Seigneurerie de Venne 25. Son fils Antoine marié 1619, est Notaire et Habitant de Besançon. Vu les prénoms, on pourrait imaginer un lien hypothétique avec ceux d’Annecy ?
Une famille très nombreuse de Pergaud est signalée à Orchamps-Vennes, Doubs, Est de Besançon, dès 1600 , le plus ancien connu est un Henry né vers 1590, dont Louis Instit. très « rouge », auteur de la Guerre des boutons, est un des descendants.
Merci pour ton commentaire très pertinent. Le lien est en effet possible, d’autant qu’avant la réforme et la période trouble qui a suivi à Genève, les savoyards étaient plus orientés vers Genève, plus proche et accessible que Lyon.